Témoignage

Jean-Philippe

Je gère les problèmes autrement.
Mode de vie sain
Motivation
Tabacstop
Ma principale motivation c’était de ne plus me sentir esclave de la cigarette. Je me suis rendu compte que même si je n’en avais pas vraiment envie, je devais fumer. Réaliser à quel point j’étais dépendant m’est devenu insupportable. Et puis, au-delà de ça, je savais que le tabac n’était pas idéal pour la santé et qu’il était temps d’arrêter si je voulais ne pas avoir de problèmes plus tard.

J’ai appelé Tabacstop, et je me suis très bien entendu avec le tabacologue que j’ai eu au bout du fil. C’était presque un ami, même si je ne l’ai jamais vu. Ces conversations ont largement dépassé le thème du tabac. Il m’a donné des pistes pour un travail sur moi, m’a conseillé des lectures. Grâce à ce processus, j’ai peut-être mieux compris le sens que la cigarette avait pour moi. La cigarette est notre amie, celle qui nous aide dans les moments difficiles. Or en fait, elle ne sert à rien. Mais ça, on le réalise seulement quand on a arrêté. Je n’ai plus besoin de cette béquille. Si j’ai un souci, je le gère différemment : je prends un peu plus l’air, je marche, j’appelle un ami pour en parler.

Depuis le début, j’ai mis un point d’honneur à ne pas éviter ces moments de manque : au resto, quand on dîne chez des amis, quand on boit un café après le boulot, quand on fait la fête... Je savais que j’allais y être confronté tout le temps.
Je compense un peu en mangeant. J’ai accepté de prendre quelques kilos parce que les compensations de l’arrêt du tabac en valent la peine. En attendant d’avoir la force de surveiller mon régime, je marche beaucoup. J’essaie d’aller au boulot à vélo au lieu de prendre la moto. C’est gai de pédaler dans la ville, on se sent libre ! Et, ça aussi c’est du plaisir.
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