Une étude américaine montre la présence de hauts niveaux de benzène – un composé chimique dérivé du pétrole brut et de l’essence – chez les fumeurs actifs et chez les non fumeurs exposés au tabagisme passif de chicha. Or, l’exposition au benzène est un facteur de risque connu pour la leucémie.
Human Rights Watch tire la sonnette d’alarme : chaque été, aux Etats-Unis, des enfants participent à la récolte du tabac dans des conditions de travail dangereuses pour la santé.
C'est Voxtron, une société spécialisée dans les solutions multimédia pour call-centers, qui a mis en place ce projet récompensé. Ce système concerne deux groupes d'utilisateurs. D'une part les personnes souhaitant arrêter de fumer, et d'autre part les tabacologues travaillant pour Tabacstop (surtout des médecins, psychologues et infirmiers-ières) et qui utilisent leur téléphone dans le cadre de l'accompagnement à l'arrêt tabagique. La bonne réussite des missions de Tabacstop est liée à une expérience positive des deux côtés de la ligne.
Une récente étude américaine a de nouveau pointé du doigt les dangers de la chicha. Non seulement elle est aussi dangereuse que la cigarette, voire plus, mais ce qui ressort, c’est la forte addiction qu’elle peut aussi provoquer. Par ailleurs, les risques de « tabagisme passif » existent tout autant en présence de fumeurs de chicha.
26 études portant sur les effets d’un arrêt tabagique ont été passées au crible pour évaluer l’effet de la cessation tabagique sur l’équilibre psychologique des ex-fumeurs. Au final, lâcher la cigarette semble avoir une influence positive sur la dépression, l’angoisse et le stress.
Cet effet est constaté aussi bien chez les personnes souffrant de problèmes psychiques, que chez les autres. Encore mieux, arrêter de fumer serait aussi efficace, et même plus encore, que les antidépresseurs dans le traitement des angoisses et des troubles de l’humeur.
